Débarque (n'importe qui du sexe masculin)

La bibliothèque n’était pas si grande, deux section en fait. Une neutre pour les loisirs, l’autre uniquement pour les chevaux. On avait établit des règle pour ce qui était d’emprunter un ou des livres, car pour l’instant aucune bibliothécaire ne faisait office d’accueil. Toutes les instructions était afficher sur le babillard et Judy les avait lu avec précautions. Elle leva les yeux sur une des étagères. La jeune fille choisit un livre dont le titre était intitulé : Les chevaux leur anatomie. Elle le prit et le rajouta au trois qu’elle tenait déjà dans ses bras. Elle voulait déjà s’instruire pour mieux pouvoir faire bonne figure devant le jeune homme dont elle ignorait encore le nom. Qui était-il? Il avait fait battre son cœur comme personne d’autre avant. Elle soupira. Cela faisait deux jours qu’elle était arrivée et ne l’avait même pas encore revu. Si n’était seulement que de passage. Ce serait le comble. Quoiqu’elle adorait l’équitation alors elle pourrait attendre un peu avant de repartir s’il n’était vraiment plus là.

Judy se reprit, ne pas soupirer et sourire s’était la clef. Il fallait faire bonne impression et être belle et parfaite à toute éventualité. Il le fallait bien, car même ceux qui sont parfait son imparfait, c’est juste qu’il ne le montre pas et c’est en ça qu’ils sont supérieur au autre. Ces avec cette pensée qu’elle tourna le coin de la rangée et se cogna contre quelqu’un. Elle tomba à la renverse et se retrouva les mains vide et assise sur les fesses entouré de ses quatre livres. Qui pouvait bien l’avoir fait tomber et si c’était….OUi, c'était lui. Alors il fallait jouer le jeu comme d’habitude.

« Pardon, je ne vous avais pas vu et voilà ce qui m’est arrivée. Oh! La! La! Je suis bien maladroite. Je suis sincèrement désoler. »

Elle avait pris un ton un peu maladroite pour appuyer ses dires et elle avait rapproché ses pieds de côté pour comment dire être à demi assis et à demis agenouillé. Elle plaça ses mains devant elle comme pour démontrer qu’elle essayait de se relever, mais elle releva la tête avant pour regarder mieux le visage de son interlocuteur. Elle resta ainsi et reprit :

« Désoler encore une fois.

Il y avait quelque jours de cela emprunté un livre à cette petite bibliothèque du bâtiment d’hébergement, là où employer et élève cohabite en harmonie, vraiment, il avait trop écouté de film zen. Enfin ce livre lui avait servit pour soigner un cheval de l’écurie qui avait un comportement bizarre. Enfin bref, il était en amour. Lui et l’amour ça faisait deux. Il ne le comprenait pas et le voyait pas. Et de par ses expériences, il ne voulait pas en avoir un autre pour l’instant. Surtout qu’il éprouve encore…Non ne plus y penser. Enfin, Emy avait été plutôt entreprenant, donc avec elle il avait pu y voir plus clairement ses intentions envers lui. Enfin, il avait laissé le livre sur le comptoir et avait décidé d’en prendre un autre. Il tourna le coin et allait rentrer dans une allée quand quelque chose le percuta. Une jeune fille, blonde de surcroit et habillé de façon plutôt chic. Complètement indifférent à sa position, mais lui tendit tout de même la main pour l’aider à se lever sur ses deux pieds.

« Ce n’est rien! Ha! Mais tu es la fille de l’autre fois. Alors tu es élève ici? Ça va? »

Une fois sa main dans sa main, il tira un peu pour lui donner un élan.

Comment pouvait-il être aussi indifférent à ses charmes, habituellement cette technique marchait sur tous les hommes. Au moins il l’aidait. Elle rougit intérieurement, avoir sa main dans la sienne, elle en avait rêvé.. Après l’avoir empoigné, elle répondit à son affirmation :

« Oui c’est moi! Ravit de revoir mon sauveur. Sans toi je serais sûrement écraser comme une crêpe. »

* Il faut absolument un contact physique, ha je sais! *

Elle se releva grâce à son élan et laissa échapper un aïe avant de s’effondrer contre lui, tenant toujours sa main. Elle resta un moment comme cela, savourant un peu se contact. Il était musclé à point et si confortable, elle pourrait s’y accoter et s’y endormir sans problème. Enfin malgré tout ce n’était pas le moment de penser à ça. Il fallait réagir.

« Désoler, mais je crois que ma cheville est… Enfin pas fouler, mais elle sont plutôt fragile et font mal pour un rien. Désoler.