Sitting Bull Ranch
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 Lenka Verhaaren.

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Lenka Verhaaren
Elève
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Lenka Verhaaren


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MessageSujet: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 9:14


    • Carte d’identité

    × Nom : Verhaaren
    × Prénom : Lenka
    × Surnom : Kali
    × Sexe : F
    × Âge : 18 ans
    × Date et lieu de naissance : Le 30 mars 1990 à Delft (Hollande-Méridionale, Pays-Bas)
    x Nationalité : Néerlandaise

    • Intimement

    × Physique :La première chose que l’on remarque chez Lenka, ce sont ses cheveux, une tignasse flamboyante et indomptable. La jeune femme affectionne ses cheveux très roux qui la démarquent immédiatement des autres ; longs et bouclés, ils dansent sur ses épaules, resplendissants. Il est très rare qu’elle les attache ; lorsqu’elle est à l’écurie, elle a un élastique autour du poignet pour les maintenir en arrière en cas de besoin, mais cela ne dure jamais longtemps.
    Son visage semble fait de porcelaine, le porcelaine qui justement a fait la notoriété de sa ville natale. Les traits sont fins, presque délicats, bien dessinés, et la peau pâle, plus rosée sur les joues, sans imperfection si ce n’est ces quelques taches de rousseur peu visibles. De grands yeux bleus, encadrés de longs cils, illuminent ce joli visage et posent un regard faussement candide sur le monde extérieur. Très expressifs, ils sont le reflet des émotions de Lenka, du moins... quand elle les laisse filtrer. Ses lèvres, charnues, se retroussent fréquemment en un sourire tour à tour espiègle ou désarmant, dévoilant alors des dents blanches et bien plantées. Lorsqu’elle fait un vrai grand sourire, on peut voir qu’il manque un petit bout d’une incisive supérieure, vestige d’un coup qui donne un air très particulier à la jeune femme.
    De taille assez moyenne, Lenka bouge beaucoup et cela se voit sur son corps mince et musclé et dans la souplesse de ses mouvements. Dotée de jolies formes, elle plaît et elle en est consciente ; du reste, elle n’hésite pas à jouer de son charme, qui lui a déjà maintes fois servi pour se tirer d’affaire, ou simplement manipuler quelqu’un... Au quotidien, la jeune femme privilégie les vêtements confortables avant tout. Un jean bien coupé et un joli tee-shirt, le tout souvent accompagné d’une paire de tennis assorties : voilà sa tenue phare. Mais cette simplicité n’en demeure pas moins élégante : le jeu des formes et des couleurs, impeccablement dosé, rend complètement différents des habits sans éclat. Lenka est passé reine en la matière. Même si elle n’est pas très versée bijoux, la jeune femme porte toujours des boucles d’oreilles, généralement un simple clou en cristal, mais parfois de grands anneaux dorés. Jamais vous ne la verrez avec des bracelets ou des bagues, elle déteste cela, en revanche il lui arrive de porter un pendentif autour du cou, assorti à sa tenue du jour...
    Une poupée. Voilà ce à quoi on compare souvent Lenka. Une poupée rousse aux grands yeux d’azur et aux joues roses... Mais pourtant la jeune femme n’a rien de tel et il suffit de la côtoyer un tant soit peu pour le comprendre...
    × Caractère : Une mignonne poupée, une gentille petite fille. Voilà ce qu’évoque Lenka dès le premier regard. Elle paraît douce et tranquille, -séduisante-, fragile et naïve. Mais la vérité est loin… Elle l’a déjà prouvé par le passé, elle peut se transformer en véritable tigresse.
    Consciente de son charme, Lenka n’hésite pas à en user et joue avec les hommes sans aucun scrupule. Elle cultive son apparence insignifiante et se laisse voir comme une jeune femme frêle et douce, gentille, qui ne cause aucun problème. À la voir, on ne peut se douter de ce qui se cache derrière cette façade…
    Lenka est glaciale, dure, rien ne semble l’atteindre. Elle s’est retranchée dans une solide carapace et ne laisse jamais filtrer ses vrais sentiments, ne se laisse jamais abattre. Soyez gentil avec elle, et elle sera tout sucre tout miel, mais commencez à vous opposez à elle et elle dévoilera son tempérament de battante. Une main de fer dans un gant de velours, dit-on. Un dicton qui s’accorde parfaitement avec elle. Déterminée, elle sait ce qu’elle veut et se donne les moyens de l’obtenir. Sa ténacité est sans faille et ses scrupules, rares. Lorsqu’elle est de bonne humeur, c’est une jeune femme anodine et agréable à vivre, mais lorsqu’elle est en colère, la dureté de son caractère se fait sentir dans ses yeux qui deviennent métalliques, brûlants. Et alors, on sent très bien qu’elle serait tout à fait capable de tuer un homme…
    Malgré son jeune âge Lenka a déjà connu de grandes douleurs par le passé, la trahison et la mort. Elle a décidé de ne plus s’attacher à qui que ce soit, de ne laisser personne pénétrer dans son cœur. Elle se refuse à se lier avec quelqu’un, de crainte de tisser des liens d’amitié. On ne peut compter que sur soi-même, les autres ne peuvent vous faire que du mal.
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Lenka Verhaaren
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 9:17

    × Histoire : 30 mars 1990. C’est le début du printemps aux Pays-Bas, les rigueurs de l’hiver laissent place à un redoux bienvenu, le soleil refait son apparition et les bourgeons apparaissent. Delft, la jolie ville hollandaise, s’active en cette matinée. Vélos et piétons commencent leur incessant ballet dans les ruelles pavées, et devant l’hôpital un embouteillage se forme déjà, entre les voitures de l’avenue, les ambulances et les vélos qui envahissent le trottoir. Dans le grand bâtiment, c’est beaucoup plus calme. Les infirmières surbookées et les médecins pressés ont beaucoup moins de patients que d’habitude, c’est une période de creux dans la journée que chacun savoure à sa manière. Mais du côté de la maternité, l’animation est plus intense. Soudain, par une porte entrouverte, les cris d’un nourrisson se font entendre.
    « C’est une petite fille ! » déclare la sage-femme, épuisée par ces heures de travail, tout en posant le minuscule bébé dans les bras de la mère affaiblie. L’accouchement a été difficile, mais maintenant tout va bien.
    Ce bébé qui hurle et s’égosille tandis qu’on le lave et l’habille, deviendra, bien des années plus tard, la rousse et farouche jeune femme que l’on nommera Lenka. Mais pour l’instant, ce n’est qu’un nouveau-né insignifiant et entouré de toutes les attentions possibles…
    ** **
      « Viens Lenka, viens ma puce ! »
    27 novembre 1991. Ilse Verhaaren, penchée en avant, tend les mains vers le petit bout de fille qui s’avance vers elle à petits pas hésitants. La fillette vacille dangereusement, mais, tenace, elle continue d’avancer vers sa mère. Ses sourcils se froncent tant elle est concentrée dans son effort, et sa bouche s’avance en une petite moue obstinée. Autour de son visage crispé par la concentration, ses cheveux d’un roux vif forment comme une auréole de flammes.
    « Oui, c’est cela, bravo ma fille ! »
    Ça y est, Lenka a atteint les bras maternels et Ilse la fait tourner dans ses bras en riant.
    « Ilse, viens voir s’il te plaît… »
    Depuis la maison, la voix rauque du père de Lenka leur parvient. Ilse repose Lenka et se redresse. Ses éclats de rire s’effacent de son visage où réapparaissent subitement ridules et traits marqués ; les temps sont durs en ce moment… Son mari a des soucis, il est irritable et renfermé et l’ambiance de la famille en souffre. De plus, les revenus ne sont plus aussi sûrs qu’avant… La situation des Verhaaren n’est pas encore précaire, mais elle semble en passe de le devenir.
    Ilse soupire, puis elle repose sa fille dans son parc pour bébé et rejoint son mari à l’intérieur.
    ** **
      « Maman, il est où Papa ? »

    1
    3 décembre 1996. Il est tard. Dehors, la nuit est noire et rendue opaque par la neige qui tombe à gros flocons. Par la fenêtre, Lenka regarde la neige, pensive. Ilse soupire, son front se plisse mais elle se force à répondre d’un ton enjoué, masquant la fatigue et l’inquiétude sous-jacente qui l’étreignent.
    « Il travaille, ma puce, tu le sais…
    - Mais il fait tout noir !
    - Ne t’inquiète pas, il est bien au chaud, à l’abri. Allez, mange, maintenant, ça va être froid. »

    D’un air morne, la fillette s’arrache à la contemplation de la fenêtre et baisse les yeux sur son assiette où refroidit un pilon de poulet. Elle commence à manger, à petites bouchées sans conviction d’abord, puis avec appétit. Toutes ses inquiétudes semblent dissipées, et c’est avec son insouciance enfantine qu’elle dévore son repas. Mais Ilse n’a pas cette capacité à éloigner ses soucis aussi facilement, et elle se perd dans ses pensées. Elle ignore où se trouve son mari, à cette heure-ci. Il n’est pas rare qu’il rentre très tard le soir, voire même passe la nuit dehors. Elle n’ose pas trop l’interroger sur ce qu’il fait, sachant qu’elle se fera sans doute rembarrer ou qu’il ne voudrait pas lui répondre avec sincérité. Ou peut-être simplement parce qu’elle craint les réponses.
    Machinalement, ses doigts frôlent sa joue tuméfiée. Sur sa peau pâle apparaissent les contours violacés d’un coup. Malgré le fond de teint, le bleu est encore visible. Ce n’est pas sa faute, se répète-t-elle. Il est tellement sous tension, en ce moment… Non, elle ne peut lui en vouloir de ses sautes d’humeur répétées. Après tout, c’est lui qui fait vivre toute la famille. Tant qu’il ne fait pas de mal à Lenka…
    ** **
      « Ilse chérie, je suis tellement contente de te revoir ! »

    4 juillet 1997. Nous sommes en Frise, loin de Delft. Lenka et sa mère sont venues en vacances chez la sœur d’Ilse, qui tient un petit élevage de chevaux. Les retrouvailles des deux sœurs, qui ne se sont pas vues depuis quelques mois, sont émouvantes, puis Silje, la tante de Lenka, les emmène visiter son domaine. Elle est fière de ce qu’elle et son mari ont réussi à créer. Lorsqu’ils ont racheté ce grand terrain, la ferme et la poignée d’animaux faméliques qui allaient avec, nul n’aurait parié sur leur réussite. Mais à force de travaux et de ténacité, ils ont transformé leur propriété en un bel élevage de frisons, les chevaux de la région. Lenka, accrochée à la main de sa mère, parcourt les lieux sans trop comprendre les explications passionnées de sa tante. Soudain, alors qu’elles passent toutes les trois à côté d’un grand pré verdoyant, la fillette tombe en arrêt. Il y a un cheval dans la pâture, un grand cheval noir qui galope, ses longs crins au vent. Lenka est époustoufflée. Jamais de sa vie elle n’a vu de cheval. Silje siffle et l’équidé s’approche au petit trot, puis passe la tête par-dessus la barrière.
    « Tu veux le caresser ? Il est très gentil, tu sais ! »
    Lenka ne répond pas. Bouche bée, elle fixe l’immense animal de ses grands yeux écarquillés. En admiration totale.
    C’est sa première rencontre avec un cheval, mais certainement pas la dernière. Nul ne le sait encore, mais ce jour marque un tournant décisif dans la vie de la fillette. Aujourd’hui, elle a découvert le grand amour de sa vie, celui qu’elle n’abandonnera jamais et la poussera à aller loin, toujours plus loin.
    ** **
      « Tu es vraiment sûre de toi ? »

    8
    juillet 1997. Avec inquiétude, Ilse regarde alternativement sa sœur et sa fille. Lenka affiche un air déterminé, et Silje tente de rassurer sa grande sœur.
    « Tout va bien se passer, je t’assure… Domino est une crème de cheval.
    - Oui mais il est grand quand même…
    - Je suis désolée, c’est le plus petit de mon écurie… C’est presque un poney ! Et je t’assure que ça va très bien se passer. »

    Avec un soupir, Ilse cède et donne son autorisation. Le sourire ravi qui éclaire le visage de sa fille n’efface cependant pas son angoisse…
    Cela fait quelques jours que la mère et la fille sont arrivées chez Silje, et quotidiennement, Lenka disparaissait. Ilse et sa sœur ont fini par découvrir où elle allait : elle passait des heures à observer béatement les chevaux… La veille, Silje l’a fait monter sur le plus petit et le plus doux de ses chevaux et l’a fait marcher en main. Puis comme la fillette n’était pas satisfaite, elle a fait trotter le cheval en le tenant par la bride et en courant à côté. Lorsque Lenka a remis pied à terre, elle était véritablement aux anges. Et aujourd’hui, Silje a décidé de lui apprendre à guider toute seule sa monture…
    Ilse s’asseoit sur la barrière de la petite carrière et regarde sa fille se hisser difficilement sur le dos du grand cheval.
    « Tu tiens une rêne dans chaque main, explique Silje. Garde les toujours tendues, mais sans tirer ; si elles sont trop longues, ton cheval ne t’obéira plus. Souviens-toi : pour avancer, un petit coup de talons, et pour ralentir…
    - Je tire sur les rênes, je sais ! »

    La jeune femme sourit. Lenka est avide d’apprendre et elle retient tout.
    « Bien, alors je te laisse te débrouiller ! Marche au pas, et va sur la piste. »
    Le cours commence par une séance d’étirements à dos de cheval. Faire tourner ses bras, lever les jambes une par une puis les deux à la fois (durdur !), aller toucher les oreilles, les fesses et l’épaule du cheval… Lenka manque tomber, mais elle a une assurance stupéfiante à cheval. Ce n’est que sa deuxième fois mais elle a déjà trouvé ses marques et n’hésite pas à plonger en avant pour toucher ses étriers.
    « Parfait ! Maintenant, à trois, tu vas t’arrêter. Un, deux, trois… »
    Lenka tire mais le cheval continue placidement d’avancer.
    « Tes rênes sont trop longues ! Raccourcis-les, puis recommence… Un, deux, trois… Bravo, c’est cela ! »
    Plusieurs fois, Lenka s’arrête puis repart au pas.
    « Bien, maintenant tu vas essayer de trotter enlevé. Rappelle-toi ce que je t’ai dit : Debout-Assis-Debout-Assis-Debout-Assis… »
    Lenka s’entraîne un peu au pas, puis elle talonne son cheval et passe au trot. Elle n’est pas en rythme et Silje la guide jusqu’à ce que la fillette trotte enfin à peu près en même temps que sa monture. Mais elle fatigue très vite et se rasseoit.
    « OK, très bien ! Repasse au pas… Domino à ta place ! »
    Lenka ne sait pas encore guider son cheval et il ferait n’importe quoi si Silje n’était pas là avec sa chambrière pour le rappeler à l’ordre. La séance se poursuit, la fillette se débrouille étonnament bien et Ilse sent son inquiétude diminuer légèrement. Elle est toujours persuadée que mettre sa fille sur un cheval est une très mauvaise idée, mais elle commence à se convaincre qu’il n’y aura pas d’accident aujourd'hui.
    « Je peux galoper ? » demande avidement la petite rouquine.
    Silje jette un regard vers sa sœur, consciente qu’Ilse sera furieuse, mais elle acquiesce.
    « Rallonge un peu tes rênes et garde les en main. C’est moi qui vais diriger ton cheval pour la première fois. Accroche-toi bien à la crinière… Tu es prête ? Dominoo… Trot-tez ! Ça va toujours ? Accroche-toi bien… Dominoo… Ga-lo-pez ! »
    Docile, le cheval part au galop et Lenka fait de grands bonds dans la selle. Toute légère qu’elle est, elle s’envole, puis retombe durement. C’est tout à fait inconfortable mais la vitesse l’exalte.
    « J’y arrive, j’y arrive ! Regarde Mam…
    - Tiens-toi en arrière ! Non, en arrière, en arrière, recule tes épaules ! Tu es trop en av… »

    Comme au ralenti, Lenka glisse vers l’épaule de son cheval et tombe la tête la première. Surpris, Domino s’arrête un peu plus loin. Silje se précipite près de sa nièce. Elle est au bord des larmes.
    « Ne pleure pas, ce n’est pas grave, ça arrive à tous les cavaliers tu sais, les chutes font partie de l’équitation… Tu ne t’es pas fait mal ? »
    Non, Lenka n’a pas mal, mais elle a le visage décomposé. Sa tante craint que ce soit déjà la fin de sa vocation de cavalière… Mais lorsque la fillette prend la parole d’une petite voix mal assurée, c’est pour demander :
    « Tu ne me punis pas ?
    - Mais, pourquoi ?
    - C’est parce que j’ai fait une bêtise que je suis tombée, non ?
    - Tu n’avais pas une très bonne position, mais ce n’est pas une bêtise, tous les débutants passent par là…
    - Alors tu ne vas pas m’empêcher de remonter ?
    - T’empêcher ? Certainement pas ! Au contraire, remets-toi en selle ! »

    Subitement, Lenka retrouve le sourire et, grâce à sa tante qui lui fait le courte échelle, remonte prestement sur le dos de son cheval. La fin du cours est plus calme, et quand la petite fille met pied à terre après plus d’une demi-heure d’équitation, elle est euphorique. On ne peut pas en dire autant d’Ilse qui était blême…
    « Tu ne la laisseras plus jamais remonter à cheval ! Tu m’entends ?! »
    Silje courbe la tête, mais elle sait déjà que tous les jours, elle entraînera Lenka. Elle a vu du potentiel dans cette gamine, et surtout, beaucoup de passion…
    ** **
      « Joyeux anniversaire, ma chérie ! »

    30 mars 2000. Ce soir, Lenka fête ses dix ans. Elle est seule avec sa mère ; une fois de plus, son père n’est pas rentré à la maison ce soir. Lenka a l’habitude, il n’est jamais là de toute façon. Elle n’a plus la naïveté d’une gamine, elle ne demande plus où il est de sa voix flûtée. Mais cependant, avant de souffler ses bougies, elle a un regard pour la fenêtre de la cuisine à travers laquelle apparaît un pan de ciel noir et constellé d’étoiles. Une brève pensée pour son père qui loupera cet anniversaire parmi tant d’autres, puis elle se penche sur le gâteau, prend une grande inspiration et souffle les petites flammes jaunes.
    « Toutes d’un coup, bravoo ! »
    Ilse ôte les dix bougies avant que la cire ne coule, et elle commence à découper le gâteau à la crème. Il est magnifique cette année, recouvert d’une couche de pâte d’amandes sur laquelle est écrit en lettres de chocolat : LENKA – 10 ANS. Elle leur sert une grosse part à chacune, puis découpe une généreuse portion qu’elle met de côté « pour Papa ». Lenka sait déjà ce que sa mère va dire : « Il aurait aimé être là, tu sais, il aurait tellement voulu… Mais le travail… Il a des obligations… » Elle n’a pas envie d’entendre encore ce baratin habituel, d’autant qu’elle sait que ce n’est pas vrai. En fait, elle se demande même si son père sait que c’est aujourd’hui, son anniversaire. Connaît-il seulement son âge ?
    « De toute façon quand il est là, vous vous disputez ! » coupe-t-elle brusquement.
    Ilse se tait, stupéfaite. Mais elle est bien forcée d’admettre, au fond d’elle, que sa fille a raison… Les choses ne s’améliorent pas entre les Verhaaren, et même en été elle porte des vêtements longs pour dissimuler ses bleus aux regards inquisiteurs. Mais cela, Lenka ne le soupçonne pas, elle en est certaine.
    « Si nous allions chez Silje, la semaine prochaine ? » demande Ilse un peu plus tard.
    La fillette saute de joie. C’est bientôt les vacances de printemps, et désormais à chaque période de congés, mère et fille se rendent en Frise. Rien ne plaît davantage à Lenka. Il faut dire que, depuis maintenant trois ans, sa tante lui apprend à monter à cheval. Elle a fait de gros, d’énormes progrès, et n’est jamais aussi heureuse que sur le dos de sa monture. Quand à Ilse, malgré les angoisses qui l’assaillent toujours quand elle pense à sa fille juchée sur le dos d’un de ces gros frisons, elle a compris qu’elle ne pouvait pas la priver de ce bonheur. Elle a vu son sourire lorsqu’elle est à cheval, la joie qui transparaît dans son regard, et son cœur de mère se réjouit de voir sa fille si heureuse…
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Lenka Verhaaren
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 9:19

    ** **

      Dix ans.
    Dix ans de la vie de Lenka qui se résument à ces quelques souvenirs, ces bribes d’un passé aujourd’hui déjà lointain, si lointain. Les huit années qui suivirent furent beaucoup plus mouvementées, beaucoup plus dures aussi. Elles firent de la fillette la jeune femme forte qu’elle est aujourd’hui…
    Lenka progressa en équitation. Elle se rendait en Frise avec sa mère à chaque vacances, et montait tous les jours, voire plusieurs fois dans la journée, en suivant les conseils avisés de sa tante qui lui apprenait l’équitation d’une manière tout à fait originale, bien loin de la méthode classique employée dans les stricts manèges des centres équestres. Voltige, mise en selle et monte à cru étant les principales disciplines pratiquées, Lenka développa une excellente assiette et aussi un certain feeling avec les chevaux qui lui permettait de se lier facilement avec sa monture et de pressentir ses réactions à l’avance.
    Son quotidien était moins joyeux. Durant la période scolaire, elle retrouvait Delft, le petit appartement exigu et l’humeur maussade de son père. Jozef Verhaaren était, au fond, un homme malheureux. Son fameux « travail » exigeait de lui discrétion et investissement maximum, et il avait espéré, passé la quarantaine, pouvoir se reposer sur son fils qui prendrait la relève en l’assistant dans les tâches les plus ardues. Malheureusement, le seul enfant que le couple réussit à concevoir fut une fille… Et si mignonne que fut Lenka, elle n’était pas digne aux yeux de son père d’accéder à l’apprentissage sacré qu’il comptait fournir à son fils.
    Père et fille se voyaient donc de loin, se parlaient peu et ne recherchaient pas la présence l’un de l’autre. Jozef ne cherchait pas même à la connaître, et Lenka de son côté avait, à dix ans déjà, perdu toutes ses illusions quant à son père dont elle n’attendait plus rien. Du moins, c’est ce qu’elle voulait croire, mais au fond d’elle persistait quelque chose qui s’obstinait à espérer que, un jour, l’homme qui lui avait donné la vie se souviendrait de son existence.
    Et ce jour vint, mais peut-être eut-il mieux valu que cela n’arrive jamais.
    En grandissant, la fillette se forgeait un caractère bien trempé et déterminé. Elle savait se défendre, aussi bien en paroles qu’en gestes, et ne se laissait jamais faire. Elle imposait naturellement le respect à tous les enfants de son âge, et même aux plus âgés. De moins en moins surveillée par sa mère, elle traînait un peu partout dans la ville, et plusieurs fois suivit discrètement son père alors qu’il partait travailler. Elle put remarquer ainsi qu’il se rendait toujours aux mêmes endroits, un terrain vague à l’écart des habitations ou un bar mal famé, et y retrouvait toujours certaines personnes. Un beau jour, son père la repéra et lui passa un savon pour l’avoir suivi. Mais Lenka, entêtée, continuait ses filatures chaque fois qu’elle en avait l’occasion. C’est un des plus proches amis de Jozef qui finit un jour par lui dire : « Mais forme-la ! » Cette idée fit son chemin dans la tête de M. Verhaaren, et finalement il décida de suivre ce conseil et de faire découvrir à sa fille sa face cachée, de la « former » à son métier.
    C’est ainsi qu’à douze ans, Lenka apprit l’art du cambriolage.
    Trop prudent pour commettre cette erreur et risquer de choquer la fillette, Jozef ne lui annonça pas de but en blanc qu’il était en réalité un cambrioleur professionnel, et vaguement dealer à l’occasion. Il la fit peu à peu entrer dans son milieu, l’initiant à de petites tâches de moindre importance tout d’abord, et c’est seule et tout naturellement que Lenka comprit que son père était un voleur.
    Le sinistre milieu de la pègre hollandaise est dangereux et violent, trahisons et coups bas ne sont pas rares. Evidemment que ce n’est pas un environnement pour une enfant… Et sûrement Jozef Verhaaren vous paraît-il fou et inconscient d’y immerger sa propre fille. Pourtant, il dosait -ou croyait doser- les risques et prenait toujours soin de la protéger. Mais elle était débrouillarde, vive et intelligente, et bientôt son aide lui devint nécessaire. Lenka se sentait étonnament bien dans ce monde d’illégalité, comme si elle était née pour ça. Parmi les relations de son père, se trouvaient d’autres cambrioleurs très jeunes. Le moins âgé, un certain Tòmaš, n’avait que 14 ans et il prit rapidement la fillette sous son aile. Avec lui, elle apprit l’art de la bagarre, et, suivant son exemple, se mit à user de ses poings avec une dextérité croissante. Un an plus tard, la sage petite fille rousse était devenue une farouche pré-adolescente, agile et bagarreuse, qui ne s’en laissait pas conter par qui que ce soit.
    Entrant dans l’adolescence, Lenka s’entendit de moins en moins bien avec sa mère. Le ton montait fréquemment entre elles, et la jeune fille fuyait la maison autant qu’elle le pouvait, préférant la présence de ses amis cambrioleurs. Ilse voyait bien que sa fille glissait sur une mauvaise pente, mais elle se trouvait démunie ; tout ce qu’elle faisait n’avait pour seul résultat que de provoquer la colère de Lenka.
    Au bout de quelques années, même Jozef commença à partager l’inquiétude de sa femme. Lenka avait 16 ans et elle n’avait plus mis les pieds à l’école depuis belle lurette. Elle prenait toujours plus de libertés, côtoyait la pire racaille de la ville, et fumait depuis un an. Certains disaient l’avoir vue complètement shootée à plusieurs reprises, et sa manière de fricoter avec les garçons déplaisait singulièrement à son père. Il était temps de la stopper, mais la jeune fille évitait de plus en plus ses parents et aucune discussion ne parvenait à son but. Soit cela dégénérait en engueulade familiale, soit elle était hostile à toute conversation et se renfermait dans le silence.
    Elle allait bien, elle allait merveilleusement bien, elle s’amusait et elle menait sa vie comme elle l’entendait, heureuse et indépendante. C’est ce qu’elle disait toujours, c’est ce dont elle se convainquait. Mais c’était faux. Ce n’est que quelques mois plus tard, une semaine avant ses dix-sept ans, qu’elle le réalisa pleinement.
    Elle connaissait Tòmaš depuis maintenant cinq ans. Lorsque, petite fille de douze ans à peine, elle avait débarqué avec son père, c’était lui qui lui avait enseigné les manières du cru et appris à se défendre. Ils étaient restés complices, et sortaient ensemble depuis un an et demi. Certes, cela n’empêchait pas Lenka de draguer ouvertement tous les autres hommes qui croisaient sa route, et Tòmaš en faisait autant, mais ils restaient fidèles l’un à l’autre, du moins selon leur définition très personnelle de la fidélité. Elle l’aimait, elle l’aimait à la folie et sûrement était-ce réciproque. Mais tout cela s’effondra le 23 mars 2007. Quand Tòmaš fut tué.
    Les altercations étaient fréquentes, et il arrivait que cela dégénère en baston générale, mais les morts étaient beaucoup plus rares. Ce soir-là, l’homme était ivre et armé d’un couteau. Tòmaš, pourtant bon combattant, fut blessé à mort et l’on retrouva son corps au petit matin, baignant dans une mare de sang.
    Lenka était écroulée.
    Tout parut basculer après cette tragédie. Son monde s’effondra, sa vie perdit tout son sens et elle n’eut plus goût à rien. Elle se renferma sur elle-même, murée dans le silence et la douleur. Elle cessa peu à peu de manger, la nourriture lui était trop abjecte pour l’avaler. Elle se laissait dépérir.
    Il fallut quelques mois à ses parents pour réagir. Ils virent leur fille perdre énormément de poids, tout son entrain et ses couleurs, cesser de parler, devenir de plus en plus sombre, et les marques, les cicatrices sur ses bras. Cependant, ce n’est que lorsqu’elle tenta de se suicider en avalant tous les comprimés de sa mère qu’Ilse et Jozef comprirent que son état était réellement grave.
    Lenka fut internée dans un hôpital et elle suivit une psychothérapie plusieurs mois durant. Elle dut réapprendre à manger et reprendre un poids raisonnable. C’était une patiente étonnamment facile à vivre qui suivait gentiment les consignes de ses médecins. En fait, tout ce qu’elle attendait, c’était sortir au plus vite et pour cela, elle était prête à tout, confier des états d’âme tout à fait fictif à son psychiatre ou recommencer à manger ce qui la dégoûtait.
    Lorsqu’enfin les médecins signèrent son autorisation de sortie, Lenka ne rentra pas chez elle. Ses parents l’expédièrent chez Silje, pensant que la campagne et les chevaux seraient de bien meilleurs thérapeutes. La jeune fille passa plus de six mois chez sa tante. Au début, leurs relations étaient houleuses car du haut de ses dix-sept ans, la rouquine restait frondeuse, têtue et provocatrice. Elle souffrait, tout en elle n’était qu’une plaie ouverte et purulente.
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Lenka Verhaaren
Elève
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Lenka Verhaaren


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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 9:34

    Mais une rencontre changea sa vie. Il était grand, il était beau, il était fort, il s’appelait Bliksem et c’était un frison à moitié fou. Silje l’avait arraché à son triste sort, mais le cheval semblait traumatisé à vie et faisait preuve d’un caractère absolument exécrable. Ce fut Lenka qui fut chargée de s’en occuper. Dès les premiers instants, la jeune fille sut comment s’y prendre avec lui. Les débuts furent difficiles, car Bliksem était subitement pris de crises de folie très impressionnantes durant lesquelles il attaquait tout ce qu’il voyait. Un jour, il coinça Lenka dans son box et la frappa de ses sabots. La jeune fille se prit un coup dans les dents, et c’est depuis cet événement que son incisive a cette forme si particulière. Par miracle, elle réussit à sortir avant que le cheval ne lui fasse la peau, mais c’était de justesse. Silje voulut le revendre, il était trop dangereux à ses yeux, mais Lenka s’y opposa de toutes ses forces. Malgré le danger auquel le cheval l’avait exposée, elle n’avait pas peur de lui et était persuadée qu’elle pouvait –qu’elle devait- le soigner.
    Elle passa des heures à s’occuper de lui, tous les jours, et les progrès de Bliksem furent stupéfiants. Au bout de deux mois, il semblait avoir éloigné tout traumatisme. Lenka commença donc à le réhabituer à la selle et au filet et à le travailler en longe, puis un beau jour, elle le monta. Il ne supporta pas ce poids sur son dos et fit tout son possible pour désarçonner sa cavalière qui finit par mettre pied à terre. Elle poursuivit le travail à pied, obtenant de Bliksem une grande confiance et beaucoup de complicité, et réessaya de le monter. Cette fois, tout se passa à merveille.
    Six mois après son arrivée chez Silje, Lenka était une toute autre personne. Elle avait repris goût à la vie et retrouvé les valeurs simples d’une existence paisible au milieu des chevaux. Elle semblait parfaitement guérie… Mais pourtant au fond d’elle, la haine grondait.
    Elle fêta ses dix-huit ans en famille, et ce fut l’occasion de revoir ses parents dont elle n’avait plus rien voulu entendre pendant des mois. Et cela raviva les difficiles souvenirs de son adolescence… Elle put néanmoins partager sa fierté avec ses parents en leur présentant Bliksem qui était devenu un très bon cheval de dressage malgré son manque de technique pour l’instant, et qui se débrouillait étonnamment bien en saut. Il aurait fait n’importe quoi pour sa cavalière, en fait…
    Les semaines s’écoulèrent, sans que rien ne paraisse changé, mais pourtant Lenka sentait croître en elle une farouche détermination. Plus que jamais, sa rancœur bouillonnait.
    À la grande surprise de Silje, la jeune fille fit se rencontrer et apprendre à se connaître Bliksem et sa tante. Cette dernière avait l’habitude de voir des cavaliers investis à 100 % dans leur rapport avec leur cheval et se montrer plutôt possessifs, mais Lenka ne semblait pas vouloir garder l’exclusivité de la confiance et de l’affection du frison. Silje et Bliksem s’entendaient bien et le frison l’accepta sur son dos.
    Lenka estima alors avoir fait tout ce qu’il lui restait à faire. Un beau jour, elle disparut.
    Plus une trace d’elle. Silje la chercha partout, mais ne la retrouva jamais. Ne restait qu’un mot, griffonné à la hâte et accroché à la porte du box de Bliksem. « Neemt zorg van hem. » Prends soin de lui.
    Lenka avait planifié sa fugue depuis longtemps et sa tante ne tarda pas à le comprendre. C’était pour cela qu’elle avait habitué Silje et son cheval l’un à l’autre, qu’elle avait tant économisé, qu’elle s’était tant de fois rendue à la mairie –en fait, c’était pour obtenir un passeport…
    Une semaine après sa disparition, on trouva un homme sauvagement poignardé dans une ruelle mal famée de Delft. Lorsqu’il l’apprit, Jozef Verhaaren reconnut l’assassin de Tòmaš.
    Quelques jours plus tard, Lenka Verhaaren prenait l’avion Delft-Paris-New York, laissant derrière elle son pays, sa famille et toute son ancienne vie. À son arrivée aux Etats-Unis, il lui restait tout juste assez d’argent pour prendre l’avion jusque dans le Montana, sa destination finale. Elle erra un peu, se fit embaucher dans un petit ranch, puis apprit l’existence du Sitting Bull Ranch et vint s’y réfugier.
    Elle semble avoir abandonné la Hollande sans regret. Mais pourquoi avoir tout quitté aussi brusquement ? Cela fait partie de ses multiples secrets…
    Tout ce qu’elle espère, en tout cas, c’est que les contrôles d’identité sont rares par ici. Parce que son permis de séjour va toucher à sa fin…

    • Environnement

    × Famille et amis : Lenka ne connaît personne aux Etats-Unis. Quant à sa famille Hollandaise, elle se résume à trois personnes.
    Son père, Jozef Verhaaren, cambrioleur professionnel qui ne recule devant aucune illégalité pour gagner un peu d'argent. Enfant, elle ne le voyait jamais, ne le connaissait pas et ne voulait pas l'aimer. Mais père et fille ont noué une certaine complicité lorsqu'il l'a initiée à son "métier". Aujourd'hui, ils ne se parlent plus guère. Jozef est un homme taciturne de toute manière, et Lenka estime n'avoir plus rien à lui dire.
    Sa mère, Ilse Verhaaren, l'a protégée durant toute son enfance de la violence de son père. Mais, possessive et trop protectrice, elle a vu sa fille se rebeller à son adolescence. Elles se sont beaucoup opposées et beaucoup disputées, et aujourd'hui ne s'entendent plus. Lenka prétend la détester et refuse de lui adresser la parole.
    Enfin, Silje, sa tante, est la personne qu'elle apprécie le plus. C'est elle qui lui a appris l'équitation et lui a fait partager sa passion des chevaux. Elle lui doit beaucoup, et elle en est consciente. Elle lui voue une grande confiance, la preuve en est qu'elle lui a confié son cheval, Bliksem, en partant aux USA...
    × Signes particulier : Lenka a les oreilles percées et également un trou au lobe droit. Son incisive cassée est un autre point distinctif, ainsi que le tatouage à son poignet gauche, une tulipe (symbole de la Hollande) entrelacée sur un poignard.

    • Au Ranch

    × Poste occupé : Élève.
    × Niveau en équitation western : Très bonne cavalière, Lenka a développé grâce aux leçons de sa tante une excellente assiette. Très rares sont les chevaux qui parviennent à la déséquilibrer... A l'écoute et sensible, la jeune fille a un bon feeling avec les équidés et s'entend à merveille avec eux. Mais, si en équitation classique elle est excellente, en western c'est une autre histoire. Bien qu'elle aime beaucoup cette façon de monter, elle n'a eu l'occasion d'essayer que de ou trois fois et a un tout petit niveau pour l'instant.

    × Autre à signaler : Lenka, néerlandaise d’origine et de langue, ne maîtrise pas trop mal l’anglais, mais elle garde l’accent de son pays quand elle parle.

    Outch, c'est un peu beaucoup long... ^^' Obligée de couper en plusieurs messages sinon ça ne rentrait pas =S Enfin, j'ai été inspirée on va dire ^^
    Désolée de ma présentation qui fait peur, je vous en voudrai pas si vous avez pas le courage de la lire xD
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Ama Williams
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 10:12

Très belle fiche ! Un grand bravo, en effet tu as étais inspirée.
Je n’ai pas encore eu le temps de tout lire, mais je suis en bonne vois, me manque plus, que le plus dur (et long) l’histoire. Mais pour le moment, tout ma l’air parfait.
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 10:31

Merci =')
Courage ! ^^
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 10:34

Bon, moi j'ai fini de lire et ça avait beau être long, c'est très bien écrit et ça se lit très bien ^^

Je ne pense qu'Ama s'opposerait à ta validation ^^
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitimeDim 7 Sep - 10:51

Non validation acceptée ^^
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MessageSujet: Re: Lenka Verhaaren.   Lenka Verhaaren. Icon_minitime

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